Soirée Cirque
Jeu 24/07 : 19h00
le 24/07/2025
19 h
Gros débit
Facile D’Excès
Yann Oliveri, Alex Saintin et Fabien Roynette
21 h 30
Qui m’aime me suive
Cie Storyteller
Amélie Jousseaume 19 h
Gros débit
Facile D’Excès
Yann Oliveri, Alex Saintin et Fabien Roynette
Une conquête de l’inutile menée tambours battants, un pari sur la légèreté, le contretemps…Une partition sans clefs ni bémols, improvisée par trois joyeux maestro. Ici, tout est prétexte au jeu : ils jouent de la musique et ils en jouent ! La virtuosité n’est pas toujours là où on l’attend, la fausse note non plus !
Un spectacle sans queue ni tête, sans parole non plus, très peu sonore, mais qui va faire du bruit !
45 min
21 h 30
Qui m’aime me suive
Cie Storyteller
Amélie Jousseaume
Évoluant dans une structure en forme de « hashtag » géant, la danseuse tisse des liens entre le monde physique et le monde virtuel, ce qui s’y dit, s’y ressent, parfois jusqu’à l’addiction.
Le corps se meut et mue à mesure qu’il explore cet environnement, métaphore des réseaux sociaux. Ainsi, l’espace se restreint entre quatre parois, comme un écran, et conditionne ce corps, qui oscille entre angoisse et adoration.
La structure apparaît soudain comme le moyen de s’élever et de prendre de la distance, élargissant le champ de vision et donnant ainsi à voir l’étendue du monde.
25 min
Gros débit
Facile D’Excès
Yann Oliveri, Alex Saintin et Fabien Roynette
21 h 30
Qui m’aime me suive
Cie Storyteller
Amélie Jousseaume 19 h
Gros débit
Facile D’Excès
Yann Oliveri, Alex Saintin et Fabien Roynette
Une conquête de l’inutile menée tambours battants, un pari sur la légèreté, le contretemps…Une partition sans clefs ni bémols, improvisée par trois joyeux maestro. Ici, tout est prétexte au jeu : ils jouent de la musique et ils en jouent ! La virtuosité n’est pas toujours là où on l’attend, la fausse note non plus !
Un spectacle sans queue ni tête, sans parole non plus, très peu sonore, mais qui va faire du bruit !
45 min
21 h 30
Qui m’aime me suive
Cie Storyteller
Amélie Jousseaume
Évoluant dans une structure en forme de « hashtag » géant, la danseuse tisse des liens entre le monde physique et le monde virtuel, ce qui s’y dit, s’y ressent, parfois jusqu’à l’addiction.
Le corps se meut et mue à mesure qu’il explore cet environnement, métaphore des réseaux sociaux. Ainsi, l’espace se restreint entre quatre parois, comme un écran, et conditionne ce corps, qui oscille entre angoisse et adoration.
La structure apparaît soudain comme le moyen de s’élever et de prendre de la distance, élargissant le champ de vision et donnant ainsi à voir l’étendue du monde.
25 min
19:00